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Nouveauté
Deux lieux mystérieux et empreints de noblesse enchantent encore le paysage neuchâtelois: le château de Gorgier et le moulin de Bevaix. Ces deux propriétés ont appartenu à la famille Borel. Tout a commencé en 1754 dans le bourg de Neuchâtel avec l’établissement du négoce de «denrées coloniales» d’Antoine Borel, maître bottier descendu de son village natal de Couvet.
Date de disponibilité :
ISBN | 288295-355-0 |
Nombre de pages | 180 |
Auteur | WASSERFALLEN ANTOINE |
Deux lieux mystérieux et empreints de noblesse enchantent encore le paysage neuchâtelois: le château de Gorgier et le moulin de Bevaix. Ces deux propriétés ont appartenu à la famille Borel. Tout a commencé en 1754 dans le bourg de Neuchâtel avec l’établissement du négoce de «denrées coloniales» d’Antoine Borel, maître bottier descendu de son village natal de Couvet. Les fils du savetier poursuivent son activité commerciale rue des Flandres, et l’un d’eux s’installe à Paris, puis en Amérique de 1816 à 1819, enfin au port du Havre. Il édifie une grande fortune et acquiert le moulin de Bevaix en 1841, qu’il transforme en domaine de campagne. Ses neveux Alfred et Antoine repartent en Amérique en 1855 pour y fonder une caisse hypothécaire, puis une banque. Celle-ci prospère et permet à l’aîné revenu au pays de reprendre le moulin de son oncle, puis au banquier de San Francisco d’acquérir le château de Gorgier. Tous deux font de leurs domaines des lieux de villégiature enviés en cette seconde moitié du XIXe siècle. La propriété du château de Gorgier est viabilisée de main de maître par cet administrateur de chemins de fer américains. Ce qui impressionne le plus à Neuchâtel, c’est ce nouveau transport public de San Francisco qui est à la base de la fortune des frères banquiers.